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Paw Mon programme COACH stress Animal

Vos animaux stressent aussi

Le programme Coach Stress Animal est conçu pour vous aider à accompagner les moments de stress de votre animal de compagnie pour retrouver une vie de famille harmonieuse.

Avant de penser au stress, assurez-vous que le changement de comportement de votre animal n’est pas lié à un désordre physique, et consultez votre vétérinaire. Il saura vous orienter vers les produits et conseils qui soulagent, quelle que soit la cause du problème.

ADOPTEZ LES BONS REFLEXES !

DÈS L’ADOPTION

Si c’est un chat :

  • Préparez et installez ses affaires. Il appréciera un couchage chaud et confortable, des postes d’observation en hauteur, des endroits où se cacher (laissez-le faire s’il en éprouve le besoin).
  • Evitez de mettre son bac à litière près d’un endroit bruyant qui le dissuaderait de s’en servir.
  • Laissez-le découvrir son environnement et les membres de la famille sans forcer le contact.
  • Jouez régulièrement avec lui pour le défouler et créer du lien.
  • Si vous avez déjà un premier chat, prévoyez tout en double : gamelles, litières, etc. Laissez-leur trouver leurs marques ensemble, n’intervenez pas, il faut parfois un peu de temps pour se partager le territoire. Là aussi ne forcez pas le contact.

Si c’est un chien :

  • Préparez et installez ses affaires. Définissez les règles (autorisé/non autorisé) qui seront respectées de la même façon pour tous les membres de la famille : on peut être tenté d’être le membre de la famille le plus permissif pour se faire aimer du chiot, mais lorsque les règles sont incohérentes, elles sont incompréhensibles pour lui, et stressantes.
  • Accueillez-le dans le calme et sans forcer le contact. Proposez-lui de jouer pour créer du lien, mais aussi pour mettre en place les premières limites.
  • En promenade, laissez-le rencontrer les autres chiens, ou les inconnus, et découvrir les objets bruyants afin qu’il se familiarise. Pas de réaction excessive de votre part s’il prend peur (réprimande ou consolation), vous renforceriez l’idée que la peur est justifiée.
  • Les premières nuits, il est possible qu’il gémisse, ne le grondez pas mais ne cédez pas non plus : laissez-le dormir seul afin d’éviter un sur-attachement qui s’avèrerait problématique par la suite. Eventuellement, vous pouvez lui laisser un vêtement (auquel vous ne tenez pas car il risque de le mâchouiller) avec votre odeur.
  • Si vous avez déjà un premier chien, laissez-les faire connaissance et trouver leurs marques ensemble, sans forcer le contact.

 

QUAND DES CHANGEMENTS DE VIE SE PROFILENT

  • Essayez d’anticiper ce qui représente une perturbation pour votre animal, en particulier
    • tout ce qui représente un changement dans le groupe familial (arrivée ou départ de nouveaux membres ou de nouveaux animaux),
    • tout ce qui représente un changement dans le territoire (voyage, travaux, nouveaux meubles, nouvelles odeurs dans le foyer)
    • tout ce qui peut être effrayant (orage, tonnerre, détonation, bruits forts inhabituels)
    • et prévoyez d’utiliser Lactium® quelques jours avant ces évènements stressants et pendant la durée de l’évènement.
  • Quand cela est possible, essayez d’habituer progressivement votre animal à ces évènements, sans sur réagir ou sur protéger votre animal. S’il s’agit de faire un voyage en voiture, vous pouvez lui apprendre en plusieurs sessions successives à monter dans la voiture, puis à y rester quelques minutes, puis démarrer la voiture pour qu’il s’habitue au bruit, enfin faire un tour du pâté de maison en 2-3 minutes pour qu’il s’habitue au mouvement. S’il s’agit de peur de l’orage, vous pouvez lui faire écouter des enregistrements à volume faible, en restant parfaitement calme et en continuant vos activités. Si votre animal reste calme, vous essaierez une prochaine fois de monter un peu le volume.
  • Donnez-leur l’occasion de se défouler physiquement. Pour le chien, des promenades d’autant plus longues que votre animal est d’un tempérament sportif, où vous le laisserez explorer le territoire et rencontrer les autres chiens. Si c’est un chat sans accès à l’extérieur, il aura besoin de jouer.
  • Ils peuvent ressentir le besoin de se cacher : respectez-les et laissez-les revenir d’eux-mêmes quand ils se sentent mieux. Comportez-vous comme si tout allait bien.
  • De façon générale, toute réaction forte de votre part (réprimande, consolation) peut renforcer chez eux l’idée que la peur ou le stress sont justifiés. Montrez au contraire que vous ne ressentez pas de stress, que la situation est banale.

 

FAITES VOUS AIDER

  • Il ne s’agit pas de comprendre votre stress mais celui de votre animal. Et franchement, interpréter ce qu’il ressent n’est pas toujours facile ! Ce qui le stresse ne vous stresserait pas, ça n’est pas toujours très logique pour nous. Aussi n’attendez pas trop pour vous faire aider si vous vous sentez impuissant(e), car le comportement peut s’installer durablement.
  • Vous pouvez être tenté(e) de vous tourner vers les forums de discussion entre propriétaires, ou de contacter l’éleveur ou l’association où vous l’avez adopté.  Pensez en premier lieu à votre vétérinaire qui est votre meilleur conseiller lorsque le comportement de votre animal vous laisse perplexe car lui seul peut écarter un trouble physique et vous orienter vers des produits (avec ou sans ordonnance) bien choisis et bien dosés.
  • Si nécessaire il pourra vous orienter vers un vétérinaire comportementaliste de votre région. Certains se sont spécialisés sur le chien ou le chat.
  • Si vous avez un chien, il connait souvent un ou plusieurs éducateurs canins dont ses clients se sont montrés satisfaits et qu’il est prêt à recommander à son tour.

 

LA POSOLOGIE LACTIUM® RECOMMANDÉE

Pour que Lactium®, votre partenaire au quotidien, agisse dans les meilleures conditions sur votre animal, donnez-lui chaque jour 15mg/kg(1) (s’il fait 20 kilos, 20x15mg = 300mg par jour) en commençant idéalement 2-3 jours avant l’évènement stressant et en poursuivant tant que dure l’évènement stressant. Si l’évènement est de longue durée, faites un bilan avec votre vétérinaire au bout d’un mois, pour continuer ou arrêter. Vous pouvez également vous appuyer sur des aliments qui le contiennent (vos vétérinaires sauront vous conseiller).

(1) Beata C. et al, 2007 Journal of Veterinary Behavior